Coup de peinture
Premier coup de peinture samedi sur les poutres et les piliers de la structure porteuse. J'ai choisi une couleur "Pierre", plus claire que la couleur précédente. Je peindrai l'ensemble de l'ob...
CEDRIC THOMAS
L’un de mes rêves est devenu réalité en 2008 avec la construction de mon observatoire pilotable à distance. Je vous propose de découvrir cette aventure dans les articles suivants :
Depuis, l’observatoire a beaucoup évolué. Il est désormais automatisé et fonctionne de manière totalement autonome.
Tous les équipements de l’observatoire (ordinateurs, caméras et automates) sont interconnectés via un switch Ethernet. Ce switch est connecté à un routeur dédié, relié par fibre optique à la box Internet du bureau, située 50m en contrebas. Si vous souhaitez vous inspirer de cette architecture simple et robuste, ce diagramme fonctionnel peut vous servir de modèle.
Pour piloter le toit de l’observatoire, j’ai choisi un automate IPX800 V4. Il gère principalement les ouvertures/fermetures automatiques en fonction de la météo.
Pour les alimentations électriques (ordinateurs, setups, montures…) j’utilise en revanche le protocole sans-fil Zigbee via une passerelle Zigbee-Ethernet.
Le logiciel Home Assistant me permet de contrôler l’ensemble depuis une interface unique.
Motoriser un toit roulant est une tâche aisée, à condition que celui-ci puisse être déplacé sans effort en le poussant manuellement. Dans la plupart des cas, un simple moteur conçu pour les portails ou les portes de garage est amplement suffisant.
Pour automatiser le toit du Petit Borobia, j’ai opté pour un kit destiné aux portes de garage basculantes comprenant un moteur et une chaîne. Chacun peut choisir un modèle en fonction de ses besoins et des disponibilités en magasin. Il n’est pas nécessaire de dépenser une fortune. Mon système de motorisation est opérationnel depuis 2009 grâce à un kit qui m’a coûté moins de 100€.
Sans capteur, l’automate est essentiellement « aveugle » car il nécessite une perception de son environnement, notamment de l’état du ciel et de la position du toit. Pour remédier à cela, j’ai choisi un détecteur de nuages AAG Cloudwatcher de Lunatico pour surveiller les conditions météorologiques. Quant à la position du toit, j’utilise simplement des capteurs magnétiques.
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